samedi 30 août 2008

La classe ouvrière va en enfer

L'ensemble des mesures politiques, économiques et sociales prises par l'actuel gouvernement Berlusconi constitue un véritable permis de tuer les ouvriers. Non, hélas ce n'est pas une provocation, car en effet, si l'on veut empêcher un crime on légifère, on prend des mesures de prévention et de sanction. On ne ferme pas les yeux, pour ensuite prendre des mesures pour blanchir les coupables. En Italie, au contraire, face au massacre quotidien dans le travail [1] (qu'en Italie on appelle des « morts blanches » ou encore, et plus justement, des « meurtres blancs ») le gouvernement Berlusconi a prévu des mesures qui annulent tout recours en justice contre la précarité. Face au « bilan de guerre » des morts quotidiennes au travail et sachant comment celles-ci résultent directement de la (...) La suite sur le site Le Grand Soir

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